Publiée le 14 février 2016

« HOMELAND : Irak année zéro » du cinéaste irakien Abbas Fahdel est une fresque puissante qui nous plonge pendant deux ans dans le quotidien de sa famille peu avant la chute de Saddam Hussein, puis au lendemain de l’invasion américaine de 2003. Receive Updates. Lire sa critique

It’s this span of time, along with the complete, slow-burn immersion into Fahdel’s extended family, that helps grant the film it’s marvelous time-capsule quality, a monument to fortitude and perseverance illuminating the often unseen costs of war.

C’est la belle séquence du marché, où la caméra largue les amarres familiales, pour aller « collectionner » les établis, les visages, les matières, les produits, les épices, le chant élégiaque d’un mendiant aveugle.

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution Homeland: Irak année zéro est un film documentaire franco - irakien en deux parties, écrit et réalisé par le cinéaste Abbas Fahdel .

(4,99 €) Loin de tout désir artistique, Abbas Fahdel a entrepris le projet d'Homeland : année zéro avec l'intention de rejoindre une Irak, celle de son enfance, sur le point de disparaître. Lire ses 10 critiques Ex. Sur le Web : Lorsque son neveu de onze ans meurt d'une balle dans la tête, Abbas Fahdel arrête tout le projet et s'avoue incapable de toucher aux 120 heures... Voilà enfin un film qui donne un visage aux Irakiens. Fiche technique Synopsis. Emu par tous ces visages et regards, d'enfants et d'adultes, qui nous disent leur humanité.

Coronavirus et pratiques obsolètes au cœur de la chute historique du PIB japonaisLes géants de la technologie américaine redoutent les conséquences des sanctions contre la ChineKarl Eychenne : « Qu’est-ce qu’une dette que l’on ne réclame plus ? Homeland : Irak année zéro participe de ces œuvres qui ne pouvaient pas ne pas exister, au vu de ce que ce film . Homeland : Irak Année Zéro du cinéaste irakien Abbas Fahdel est une fresque puissante qui nous plonge pendant deux ans dans le quotidien de sa famille peu avant la chute de Saddam Hussein, puis au lendemain de l’invasion américaine de 2003. Il s'agit bien de prendre cinématographique acte de la destruction mais aussi d'y résister par le cinéma. Genres: Documentary. Pour rejoindre les miens aussi, et peut-être mourir avec eux.

Effectivement sa durée peut faire peur et rebuter mais il ne faut pas s'arrêter à ça.

Publiée le 11 février 2016 For several months, director Abbas Fahdal filmed a group of Iraqis, mostly members of his family, just before the outbreak of the Iraq War in 2003. Montrer l’autre afin de ne pas le réduire a de vulgaires préjugés, voilà un des enjeux principaux de ce documentaire, qui nous montre très bien, dans cette première partie, les états d'âmes et les modes de vie de ces gens, ainsi que leurs craintes face à l'imminence de la guerre. Retrouvez plus d'infos sur notre page de Le revers de la propagande baasiste, c’est désormais l’occupation américaine, avec les longues rangées de véhicules militaires qui sillonnent ou bloquent les rues, et les injonctions plus ou moins conciliantes des soldats.

Un don »Pourquoi une partie des Alpes est en train de s’effondrerFace à la sécheresse, des projets pilotes pour recharger les nappes phréatiques françaisesAu Liban, un système politique unique au monde (et en panne)Covid-19 : comment certains malades deviennent des supercontaminateursKarl Eychenne : « Qu’est-ce qu’une dette que l’on ne réclame plus ? Un mois après que j’ai eu arrêté de tourner, mon neveu Haidar, très présent dans le film, a été assassiné.

For several months, director Abbas Fahdal filmed a group of Iraqis, mostly members of his family, just before the outbreak of the Iraq War in 2003. (2,99 €) » représente aux yeux de son auteur. Du reste, l’ont voit la vie quotidienne de cette famille, dont les occupations et préoccupations ne diffèrent guère de celles des Occidentaux. Nous partageons les joies et les craintes de cette famille irakienne qui nous montre à quel point toutes les familles du monde ont les mêmes aspirations : travailler, éduquer leurs enfants, rire, aimer, s'impliquer dans leur société… Abbas Fahdel nous montre également qu’au coeur de la guerre il existe des hommes, des femmes et des enfants exceptionnels, des héros du quotidien, « des gens qui sont nos frères humains et que l’on quitte le coeur brisé quand le film prend brutalement fin ».

Homeland (Irak année zéro). Emerveillé de découvrir la beauté d'un pays que les médias ont réduit à quelques clichés.

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10 février 2016

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Chroniques de la vie quotidienne en Irak, avant et après l'invasion américaine.