Le programme de réalisation du centre de détention de Koné a été lancé officiellement mercredi 30 octobre. Ce chantier sera, en effet, l’occasion de faciliter l’insertion professionnelle puisque les marchés – et c’est une première – prévoient une clause destinée à favoriser l’insertion de personnes éloignées du travail. Outre son programme d’enseignement, le CJRM propose également des programmes individuels et collectifs qui visent à répondre aux besoins en éducation, en réadaptation et en réinsertion des adolescents et à traiter les facteurs de risque criminogène (MSEJ, s.d.). Malgré des statistiques à la baisse, le centre continue d’héberger un nombre nettement plus élevé d’adolescents que tout autre établissement de garde et de détention en milieu fermé de la province. Parmi les mesures prises figurent notamment la réduction du nombre de pensionnaires, le renforcement des effectifs, l’élargissement des offres de formation pour le personnel, l’introduction de programmes supplémentaires ainsi que l’examen et la révision des politiques et des pratiques dans le but de résoudre les divers problèmes identifiés. Malgré une capacité d’accueil de 96 adolescents, le nombre moyen de pensionnaires au CJRM était de 64 adolescents en 2014 et seulement de 52 adolescents lors de l’évaluation du 8 au 10 novembre 2015 (MSEJ, s.d.). Cet isolement ne doit pas tenir lieu de sanction. Selon eux, certains établissements sont, en effet, plus prompts que d’autres à pratiquer l’isolement sous clef. Il est donc nécessaire de s’assurer que les adolescents qui s’apprêtent à retourner dans leur collectivité, en particulier ceux placés dans un établissement de garde en milieu fermé, peuvent compter sur des soutiens efficaces en matière de réinsertion. Certains centres de garde en milieu fermé semblent ainsi éprouver quelques difficultés pour atténuer le contexte de contrôle total inhérent aux cultures et aux processus de garde et optimiser la garde relationnelle. Les établissements de garde en milieu ouvert à faible taux d’occupation pourraient ainsi devenir des établissements généraux qui accueilleraient tout l’éventail d’adolescents ayant des démêlés avec la justice ou risquant d’en avoir. Les professionnels ne partageaient pas tous le même avis sur leur capacité à mettre en œuvre une garde relationnelle dans leur établissement. Dans la mesure du possible, les adolescents qui ont des démêlés avec la justice devraient recevoir un soutien communautaire. Cette initiative d’accueil élargi a globalement été jugée inappropriée. À la demande du Comité, les Services de justice pour la jeunesse ont mené une évaluation du 8 au 10 novembre 2015, afin de déterminer le nombre d’adolescents placés dans les différents établissements de garde et de détention de toute la province, tous milieux confondus. L’intervenant provincial en faveur des enfants et des jeunes a, quant à lui, indiqué que l’accent était mis sur les moyens de contention et le confinement plutôt que sur l’apaisement et la résolution des problèmes et que le personnel faisait un usage divers et imprévisible de la garde relationnelle. Pour les aider à se positionner sur ces marchés, elles bénéficient de l’appui de groupes de travail, auxquels participe notamment la direction du Travail et de l’emploi (DTE). Un accord est intervenu lundi soir entre les Communautés et le gouvernement fédéral en matière de prise en charge des mineurs délinquants dangereux. La gestion des opérations immobilières de l’État est, en effet, l’une des missions poursuivies par cette direction mixte État/Nouvelle-Calédonie.Campus et bâtiment Sigma de l’Université de la Nouvelle-Calédonie (UNC), lycée du Mont-Dore ou encore extension du lycée Michel-Rocard de Pouembout : si la DAC n’en n’est pas à son coup d’essai, le centre pénitentiaire constitue néanmoins un nouveau défi à relever pour la direction qui devra, en plus de la conduite d’opérations, assurer la maîtrise d’ouvrage déléguée. Le ministère et les cadres supérieurs du CJRM se sont, de toute évidence, employés à atténuer les problèmes liés à l’environnement du CJRM. Il semble, par ailleurs, exister des disparités régionales en matière d’occupation entre les différents établissements de garde en milieu fermé. Veuillez appeler ou visiter leur site Web pour plus d’informations.Centre William E. Hay - Centre de détention des jeunesAdministration lun-ven 8 h-16 h 30 * Centre de détention 24 h sur 24 Établissement offrant un service pour la détention temporaire et sécuritaire, ainsi qu'un centre de placement en milieu fermé à court terme, pour les jeunes contrevenants de sexe masculin tel que stipulé par la Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents.Adolescents de sexe masculin entre 12 et 18 ans inculpés sous la Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents.Les présents renseignements ont été entièrement mis à jour le L’équipe de la DPJ : reçoit tous les signalements concernant la situation d’enfants qui peuvent avoir besoin de protection ; évalue la situation de ces enfants et … Provincial 70- Sécurité publique Renseignements généraux et plaintes Centre de détention de Baie-Comeau, Gouvernement provincial. Le centre exerce aussi des responsabilités en matière de placement d’enfants en milieu substitut, d’adoption, de … Les établissements de moindre envergure semblent ainsi parvenir plus facilement à atteindre ces objectifs. La dernière modification de cette page a été faite le 24 mars 2019 à 21:32. En 2013-2014, la proportion d’adolescents qui se sont vu attribuer une peine communautaire à l’issue d’un verdict de culpabilité a augmenté de 18 p. 100 et plus de 8 000 adolescents ont bénéficié de mesures de déjudiciarisation. Sur la période du 8 au 10 novembre 2015, les établissements recevant des paiements de transfert ont affiché des tendances d’occupation similaires en ce qui concerne les adolescents placés sous garde en milieu ouvert. De plus, il coordonne les actions de sécurité civile, de la prévention des sinistres jusqu’au retour à la vie normale.