Ses athlètes – à situation qu’ils n’aient pas été identifiés comme ayant bénéficié du système en cours jusqu’en 2015 – devront concourir sous bannière neutre et le pays ne pourra pas accueillir de compétition mondiale (ce qui n’inclut pas l’Euro de soccer).

Il se passe qu’il est noir, qu’est-ce que vous voulez que je vous dise. Chacune des Ce mode de construction est bien rodé à l'époque de la construction de la Tour.

Ce passionné et véritable génie a su dépasser ses propres limites pour nous léguer des monuments tels que la Coupole de l’observatoire de Nice, la structure métallique de la Statue de la Liberté ou encore le pont de chemin...

Ces débats, polémiques et affaires qui ont agité le sport en 2019.


En quinze journées de championnat italien de soccer, une dizaine d’incidents racistes ont été répertoriés. » Michel Platini, ancien patron de l’UEFA, a résumé en langage fleuri la pensée d’une bonne partie des acteurs et amateurs de soccer. La Dame de fer, qui fête ses 130 ans cette semaine, a fait couler beaucoup d’encre du haut de ses 324 mètres.
Le ton aura été donné dès la deuxième journée, le 1er septembre, avec les cris racistes contre l’attaquant belge Romelu Lukaku, à peine arrivé à l’Inter Milan depuis le membership anglais de Manchester United.Signe d’un mal profond, le joueur de Brescia Mario Balotelli, qui avait vivement réagi aux insultes racistes des supporteurs de Vérone, a également été visé par son propre président : « Qu’est-ce qu’il se passe avec Balotelli ?

Affublée de critiques par les grands noms du monde des lettres et des arts, la Tour a su s’imposer et rencontrer… Bien que ces épreuves aient été décalées en milieu de nuit pour éviter les températures importantes, les athlètes ne s’en sont pas mieux portés pour autant : il y a eu 28 abandons lors du marathon femme (68 partantes).Ces polémiques ont conduit le Comité worldwide olympique à annoncer que, pour les JO 2020, les épreuves de marathon et de marche seront déplacées de Tokyo à Sapporo, 1 000 km plus au nord, où les températures devraient être plus clémentes fin juillet-début août.La championne sud-africaine Caster Semenya est l’athlète hyperandrogène (taux de testostérone supérieur ou égal à 5 nanomol/litre) la plus connue. Triste et récente illustration d’un fléau qui n’a jamais vraiment disparu des stades mais qui a connu un regain cette année.L’Italie est particulièrement touchée par cette gangrène. Penalty pour Paris alors que Madrid mène 1-Zero. La résurgence des comportements racistes dans les stades. Elle incarne à elle seule le règlement controversé de la Fédération internationale d’athlétisme (IAAF) : triple championne du monde du 800 m, plus rapide d’environ trois secondes cette année que toutes ses rivales, elle n’a pu s’aligner au départ du double tour de piste des Mondiaux de Doha, finalement remporté par l’Ougandaise Halimah Nakaayi, le 30 septembre.Le règlement de l’IAAF a en effet rendu inconceivable la participation d’une dizaine de sportives aux épreuves du 400 jusqu’au 1 500 m. Ce texte a été validé en mai par le Tribunal arbitral du sport (TAS) – qui l’a pourtant reconnu discriminatoire – avant d’être autorisé en attendant une décision en appel de la justice suisse (la Cour suprême en juillet).Les situations de l’athlétisme offrent trois choices à ces athlètes : courir avec les hommes, subir un traitement médical (médicaments ou chirurgie) ou changer de self-discipline.Ce feuilleton ne cesse de revenir sur le devant de la scène depuis l’émergence au plus haut niveau de Semenya, victorieuse du 800 m des Mondiaux de Berlin en 2009. Il travaille pour s’éclaircir, mais il a des difficultés »L’affiliation mondiale des Ligues de soccer professionnel a annoncé, le 15 novembre, la création d’un comité contre le racisme. L’année 2020 apportera-t-elle une réponse ?« Je pense que la VAR est une belle merde et que malheureusement, on ne reviendra pas en arrière.