Il s'adresse au lecteur en le tutoyant : il se sent proche de lui.6. “Zone” fut composé dans l'été de 1912 à la suite de la rupture de Guillaume Apollinaire avec Marie Laurencin (peintre, rencontrée par Guillaume Apollinaire en 1907). INTRODUCTION. Apollinaire décrit les aspects les plus neufs de la ville. Apollinaire choisit, pour symboliser la modernité, un monument très controversé. Ce poème ouvre le recueil, ce qui ne correspond pas à l'ordre chronologique de rédaction, mais bien à un choix d'Apollinaire, ce qui oblige le lecteur à le traiter avec une attention toute particulière. Lecture analytique linéaire « Zone » Introduction : Alcools : publié en 1913, rassemble les poèmes écrits entre 1898 et 1912. Le lecteur s'attend, alors, à sa lecture, à ce que la première. Il fgure en tête du recueil Alcools, mais il fut en fait le dernier en date des poèmes du recueil. Apollinaire choisit, pour symboliser la modernité, un monument très controversé. Partager : application linéaire. Le poète préfère des vers irréguliers, libres.Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matinIl s'adresse à la tour Eiffel : le symbole de la capitale et de la modernité.
Première et seconde personne (le poète et le lecteur) se confondent.la religion / Est restée simple comme les hangars de Port-Aviationla honte te retient / D'entrer dans une église et de t'y confesser On trouve deux enjambements dans le poème. Il figure en tête du recueil “”, mais il fut en fait le dernier en date des poèmes du recueil et il présente des différences profondes avec les autres car y fut mise en œuvre une nouvelle esthétique.
Zone est l'histoire d'une déambulation poétique d'un matin (début du poème) vers un autre matin (fin du poème), dans un Paris entrecoupé d'évocations géographiques diverses.
Voici une analyse du poème « Zone » de Guillaume Apollinaire. Introduction Zone est le poème d'ouverture du recueil Alcools (1913) de Guillaume Apollinaire.Ce poème au cycle de Marie (en référence à Marie Laurencin, peintre, rencontrée par Guillaume Apollinaire en 1907). (le tableau d'Edward Munch étant de 1893) et étant ponctué. Qui dit poème liminaire dit poème phare. Ils correspondent à deux moments, deux idées :2°) le passage évoquant sa honte d'entrer dans une église : l'enjambement est associé au verbe de mouvement « entrer » et mime, d'une certaine façon cette action.La religion seule est restée toute neuve la religion Contre toute attente, la religion est considérée par le poète comme moderne.La religion seule est restée toute neuve la religionLe poète insiste sur le mot « relgion », qui encadre le vers : pour lui, la religion n'est pas antique, mais bien moderne, même si le christianisme a 2000 ans.Tu lis les prospectus les catalogues les affiches qui Par la magie de la poésie, la réalité est transformée, embellie, de même qu'au vers 2 la tour Eiffel était personnifiée.Le poète a choisi de raconter un matin : c'est le début de la journée, la rue s'anime.
Il préfère le moderne.Pour lui, la poésie n'est pas dans les poèmes, elle est dans « les prospectus, les catalogues, les affiches » : elle est partout.Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matinTu en as assez de vivre dans l'antiquité grecque et romaineDans les vers 1 et 3, le poète se répète : la première fois, il utilise le langage poétique, le langage soutenu ; la seconde fois, il utilise le langage quotidien. Zone, Apollinaire : lecture analytique Voici une analyse du poème « Zone » de Guillaume Apollinaire. Donc impression de liberté et de modernité formelle.On sait que ces supports sont aussi intégrés à la peinture par artistes nouveaux : collages de journaux dans les tableaux de Braque et de Picasso, affiches peintes par Toulouse Lautrec, les Delaunay.
Le ton est donné dès le 1er vers où Apollinaire dit son impatience, son agacement (A la fin) et un certain désespoir beaucoup plus fort et plus sombre (tu es las). Il s'agit d'ailleurs d'un Paris intime, de lieux familiers au poète et surtout du Paris de la déambulation (le terme rue revient quatre fois en ce début de poème + une fois avenue).
Tu peux également retrouver mes conseils dans mon livre Bonjour, votre travail est très utile et intéressant!Un travail complet. Ce contexte urbain est évoqué de manière positive (jolie rue, v.15; neuve et propre, v.16), qui appartient à une zone presque périphérique à proprement parler (v.24 l'avenue des Ternes se trouve à l'extrême ouest de Paris, presque en banlieue; de mm que les hangars de Port-Aviation). Le ton est donné dès le 1er vers où Apollinaire dit son impatience, son agacement (A la fin) et un certain désespoir beaucoup plus fort et plus sombre (tu es las). -Prq Apollinaire a-t-il choisi de commencer Alcools par Zone ? Il ne s'adresse pas un bâtiment antique.Ici même les automobiles ont l'air d'être anciennesLe poète ne choisit pas de répéter le même type de strophe : il présente des monostiches, un tercet, etc.