J’ai le souvenir de Kerns dans les années 70… Du ravage de l’alcool sur les populations autochtones…... Du racisme latent qui imprégnait tout… Jusqu’à Port Moresby en Nouvelle Guinée (alors sous contrôle australien) où un autochtone regardant avec trop d’insistance une européenne risquait de se faire embarquer au poste de police…. Avec Jim Sturgess, Ed Harris, Saoirse Ronan, Colin Farrell. On voit si peu souvent de films sur les Aborigènes d'Australie qu'on ne peut pas renier Rabbit Proof Fence. Le film permet de s'interroger sur le degré d'humanité de certaines personnes et la perversité du système colonialiste et expansionniste qui subsiste encore de nos jours sous d'autres formes. Wilson Yip Suivre son activité Suivre son activité "Le chemin de la liberté" présente et dénonce un aspect de l'Australie totalement méconnu et inimaginable : l'application de lois racistes mettant sous tutelle tous les aborigènes et l'enlèvement définitif des enfants métisses placés dans des pensions... et ce jusqu'en 1970. Le début du film est inique puisqu'on arrache carrément les trois enfants à leur mère. Kenneth Branagh joue à la perfection l’européen paternaliste persuadé de la supériorité de la race blanche et du bien fondé de la politique d'assimilation forcée des indigènes. Publiée le 16 mai 2009 C'est avec une approche noble et humble que Philip Noyce s'empare d'une histoire vraie.Celle racontant le périple de 3 petites filles aborigènes à travers le désert australien,pour rejoindre leur famille d'où elles ont été enlevées.En 1931,les colons britanniques règnent en maître en Australie.Tellement qu'ils veulent façonner le peuple aborigène à leur image.Marier les jeunes filles à des hommes blancs pour créer le sang pur et supprimer les gênes métissés.Et cela est pratiqué selon des procédés sournois et gerbants. La mise en scène est assez réussie, nous garantissant un voyage agréable à travers l'Australie sauvage, aux décors admirables. Phillip Noyce signe là un bien beau et cruel film sur la manière dont étaient traités les aborigènes par les colons blancs afin que ceux-ci puissent les intégrer de force, ici en leur volant leurs enfants. L'émotion et l'intensité des paysages desertiques filmés avec virtuosité et des personnages attachants ou mysterieux tel le traqueur nous donne un très joli film. Paysages superbes de l'Australie en prime. Technicien doué, il est ici épaulé par C. Doyle, nous offrant ainsi quelques plans magnifiques et mémorables. Les acteurs sont bon mais le scénario ne m'a pas plu.Certains dialogues et certaines scènes sont plaisante. Un pur chef-d'œuvre basé sur des faits réels. Une belle mise en scène avec de belle musiques. Publiée le 4 avril 2013 Mark Sturgess

On voit si peu souvent de films sur les Aborigènes d'Australie qu'on ne peut pas renier Rabbit Proof Fence. Contrairement à d'autres, il échappe miraculeusement à la mort.

C’est l’histoire de la destruction de l’identité et de la culture de l’autre au nom d’une prétendue civilisation… Ex. Belle distribution dont notamment Kenneth Branagh. Le scénario est un peu light parfois, trop elliptique mais il reste, par moments, passionnant. Peter Weir Derrick Borte avec Avec Le Chemin de la liberté est un film réalisé par Phillip Noyce avec Kenneth Branagh, Everlyn Sampi.